Vous est-il déjà arrivé de fonctionner à l’envers ? Évidemment, au début, on ne s’en rend pas compte. Nous poursuivons fréquemment notre rêve avec fébrilité. Alors on se lance et puis on remarque ensuite que le résultat escompté ne vient pas. Les gens ne comprennent pas ce que l’on a voulu dire. Pour une raison inconnue, les ventes ne sont pas au rendez-vous. Oui, mais, vous me direz, Continuer la lecture de « Liriez-vous un livre en commençant par la fin ? (Ou fonctionner à l’envers dans l’autoédition.) »
POURQUOI BIEN ÉCRIRE QUAND ÇA NE SERT À RIEN? Partie 2
ET LE LECTEUR…
Le niveau de lecture
Il semblerait que « 53 % des Québécois n’ont pas le niveau de compétence souhaitable en littératie. » 5. De ce nombre, environ 20 % ne savent ni lire ni écrire. Après ces degrés d’analphabétisme fonctionnel, il existe Continuer la lecture de « POURQUOI BIEN ÉCRIRE QUAND ÇA NE SERT À RIEN? Partie 2 »
POURQUOI BIEN ÉCRIRE QUAND ÇA NE SERT À RIEN ?
Partie 1 – Perspective de l’écrivain
UN CONSTAT
En tant qu’auteurs, pourquoi devrions-nous atteindre tel ou tel niveau d’écriture ? Un constat s’impose : si nous rédigeons un journal intime que personne ne lira, cela a peu d’importance. Cependant, dès que l’on a l’intention d’en distribuer à notre famille ou à des amis, le lecteur, même s’il vous aime, doit pouvoir minimalement comprendre ce que vous composez. Si jamais Continuer la lecture de « POURQUOI BIEN ÉCRIRE QUAND ÇA NE SERT À RIEN ? »