Dans la suite de notre questionnement quant à savoir s’il existe un quelconque intérêt à se regrouper en tant qu’auteur « autoédité », j’ai pensé discuter des tâches à accomplir dans le domaine. Bien entendu, ma démarche implique que l’idée de rentabiliser votre affaire demeure en arrière-plan. Aussi, le texte s’adresse à un « autoédité » débutant ou en progression. Entrons donc dans le vif du sujet en tentant d’obtenir une vue d’ensemble des obligations liées à l’édition.
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Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin.
Proverbe africain
L’approche relationnelle
J’étais au volant lorsque j’ai entendu à la radio un expert, dont je ne me souviens malheureusement pas du nom, qui discutait des effets de la mondialisation. Un extrait de la discussion a particulièrement attiré mon attention : «Pour faire face à la compétition, toutes les entreprises du Québec doivent se regrouper.» J’ai immédiatement pensé : si c’est vrai pour des PME qui possèdent souvent des chiffres d’affaire importants, combien cela doit-il être vrai pour des travailleurs autonomes dans le milieu de l’édition! Continuer la lecture de « Se regrouper ? I – L’approche relationnelle. »
Liriez-vous un livre en commençant par la fin ? – II ( Ou fonctionner à l’envers dans l’autoédition)
II – Connaître minimalement la «business»
Les auteurs sont des travailleurs autonomes. Ils ont contracté une obligation, ils interagissent avec un ou des sous-traitants, ils font des affaires. Cette constatation est d’autant plus vraie si vous partagez une partie des risques financiers du projet. Alors, ne devrions-nous pas nous comporter, sans analyser tous les détails, comme si nous démarrions une entreprise ?