Les Héritiers du Grand Artisan, Vol. II
La Déesse
Quelle est l’importance de la science-fiction dans ce roman?
Les mêmes éléments techniques ou inventés utilisés dans le volume I, La Quête d’Ormis, se retrouvent dans La Déesse. Ici encore, l’aspect scientifique réel ou inventé ne sert que de support à l’histoire. Le tout demeure en arrière-plan, avec somme toute peu d’éléments nouveaux. Pour plus d’informations, voir le texte Science-fiction et réalité du premier volet.
Certains éléments apportés par le style Fantasy présents dans ce roman peuvent avoir un lien, même ténu, avec la science. Dans notre histoire cependant, ce lien étant plutôt mince, nous éviterons d’en discuter et ainsi ne pas dévoiler certains aspects de l’histoire.
Est-ce un roman de style Fantasy?
L’histoire du tome I La Quête d’Ormis se déroule dans des mondes semblables au nôtre. Le héros n’accomplit que des exploits réalisables par un être humain normal. Dans le tome II, il en ira autrement.
Si on se réfère de nouveau à la définition de Wikipedia (Wikipedia-Fantasy), la Fantasie est un «genre littéraire présentant un ou plusieurs éléments irrationnels qui relèvent généralement d’un aspect mythique et qui sont souvent incarnés par l’irruption ou l’utilisation de la magie.» Dans La Déesse, vous ne trouverez pas de magiciens, dragons, nains ou elfes. On n’y trouvera pas non plus de magie ou autres personnages usuels, les protagonistes développeront certaines capacités hors de l’ordinaire à partir d’une mythologie qui leur est propre. Les éléments irrationnels apparaîtront graduellement sans cependant générer de crainte ou d’horreur, plus liés au genre fantastique.
À quel genre d’histoire doit-on s’attendre?
Le lecteur retrouvera les mêmes personnages dans le second tome. Certains d’entre eux se dévoileront cependant sous un nouveau jour. De nouveaux personnages s’ajouteront aussi à l’histoire, mais principalement en soutien.
À la fin du volume I de la trilogie Les Héritiers du Grand Artisan, nous avons laissé Ormis et Philie séparés, chacun isolé sur sa propre planète. Philie, ignorant tout de l’origine d’Ormis, récupère sa dague et part à sa recherche. Chemin faisant, elle apprendra que sa dague, qu’elle a conservée jalousement depuis son enfance, serait décrite dans une prophétie léguée sans doute par le père de leur humanité : le Grand Artisan. Philie ferait ainsi partie de quelques élus devant affronter un grand ennemi annoncé par la prophétie. Comment, elle, Philie, une petite fille de La Valeillette, pourrait-elle porter cette responsabilité? Nous l’accompagnerons dans son apprentissage et dans tous les défis qui se présenteront sur sa route.
Quel sera le rôle d’Ormis dans toute cette histoire? En plus de comprendre les motivations des intervenants dans son aventure précédente du volume I, il devra de nouveau se dépasser, mais dans un contexte totalement différent. Accompagnés de leurs nouveaux amis, chacun de leur côté, les deux amoureux puiseront au plus profond d’eux-mêmes afin de transcender leur propre nature et survivre.
Doit-on s’attendre à une suite sans fin de romans qui n’aboutissent jamais?
Encore une fois, non! L’auteur est formel. Trois volumes, rien de plus! Entre-temps, d’autres idées germent dans sa tête.
À quel genre de lecteurs s’adresse ce roman?
Comme dans La Quête d’Ormis, des lecteurs qui apprécieront quête personnelle, amitié, amour, aventure et dépassement de soi.
15 ans et plus : le style d’écriture de même que le contenu qui requiert un certain vécu nous apparaît, basé sur notre expérience, convenir à un lecteur de quinze ans et plus.
Est-ce pour tous?
Il n’y a pas de contenu explicitement érotique.